Les particules fines en suspension viennent pénètrent les poumons. Les particules supérieures à 10 microns (un centième de millimètre) peuvent être retenues au niveau du nez et excrétées par la muqueuse. Les mécanismes des dommages dans les tissus pulmonaires sont mal connus. L'hypothèse est que les petites particules provoqueraient une inflammation et entraveraient l'oxygénation. Ces réactions inflammatoires, produisant des radicaux oxygénés, sont nocives pour le cœur. La pollution particulaire est associée à une viscosité accrue du plasma sanguin, ce qui augmente le risque d’infarctus du myocarde.
Des effets neurologiques des particules fines ont été observés, par exemple la fonction du muscle cardiaque peut être affectée. Enfin ces radicaux sont associés au vieillissement précoce.
L'effet de la composition chimique est imparfaitement connu.
Certaines personnes sont plus sensibles aux particules que d'autres. Les groupes vulnérables sont notamment les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies cardiaques et vasculaires ou de maladies pulmonaires.
Des études montrent qu'il n'y a pas de limite inférieure sans risque d'exposition aux particules:
même aux faibles concentrations, il existe un effet nocif mesurable sur la santé.
Les normes actuelles sont donc un compromis entre objectifs sanitaires et contraintes socio-économiques.
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